De l’imperatif pour un peuple de sortir de son noun :Connaissasance de l’Autre (Tome 2)
Édition : Menaibuc
ISBN : 978-2-35349-202-2
Format du livre : 15 cm*21 cm
Poid : 0g
EAN : 978-2-35349-202-2
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La problématique
générale traitée autour de L’Impératif pour un peuple de sortir de son
Noun voudrait poser les bases d’un paradigme, avec pour
ambition : la convocation à l’Existence d’un peuple dont on a volé la
conscience. Ce Tome 2/3 vise à communiquer des informations utiles sur la
connaissance du Blanc, l’Autre moi-même. A l’instar de Seth, il se présente
comme un guerrier vaillant. Nous plaçant dans une perspective négro-africaine,
l’homme Blanc peut être vu comme une divinité. Mais pas n’importe lequel. Il
est le dos de Dieu. Une meilleure connaissance de ses manières
d’agir dans nos rencontres s’effectuant sur notre voie à aller vers Dieu,
c'est-à-dire à convoquer notre émancipation pour répondre à notre
vocation d’homme, conférera davantage de poigne dans nos entreprises. Découvrez
dans ce tome ce que vous n’ignorez pas mais que votre conscience
refoule !
Askandari Allaoui,
Askandari Wa Mze Naria, Muhammad Askandari sont de différents noms du même
auteurs. L'usage d'un nom est fonction du chantier et de la mission en vue.
L'auteur est originaire des îles Comores, Mayotte plus précisément: ce
cinquième Département de l'Outre-Mer de l'Empire français. Dans sa mission sur
Terre, il comptabilise à 38 ans ces ouvrages indiqués. Son parcours succinct de
formation: il a fait l'école coranique, les CEMEA (centre d'entrainement aux
méthodes d'éducation actives), L’École normale, Université Lumière (Sciences de
l'Education), L'INJEP (Insitut National de la Jeunesse et de l'Education
populaire), L'Institut politique de Grenoble (Sciences Po). Il fut enseignant,
Conseiller Jeunesse, Directeur de Communication au Conseil Général de Mayotte,
Chargé de Mission en évaluation en politique publique, Chargé d'étude au
Conseil économique et social. Cofondateur de OUDAYLYA HAQUI ZA M'Maoré (défense
des droits coutumiers relatifs au foncier en faveur des Autochtones) avec
l'ancien président du Conseil Général Daniel Zaidani. il est l'instigateur de
la Journée de la terre à Mayotte, aujourd'hui dénommé "la Journée d'une
Terre et des Hommes" ayant comme vocation d'une part la commémoration des
injustices ayant caractérisé les modalités d'appropriation-distribution des
terres, d'autre part à susciter une conscientisation du peuple: lui apprendre,
entre autre à crier "Oh Voleur!" A ce jour, il investit un terrain de
réflexion philosophique inédit. Seul le futur nous en dira sur le dénouement.